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Only after disaster can we be resurrected. (Tyler Durden)

Waste World

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Références

  • Gamme : Waste World
  • Version : première édition
  • Type d'ouvrage : Livre de base
  • Editeur : Manticore Productions
  • Langue : anglais
  • Date de publication : janvier 1997
  • EAN/ISBN : 1-90-162100-6
  • Support : Papier
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

livre à couverture souple de 288 pages en noir et blanc sauf un cahier de 16 pages en couleurs.

Description

La première partie "Datacore One : Necrosphere" fait 96 pages et est consacrée à une description du monde, sans aucune allusion au système de jeu. Ainsi, après une présentation générale du monde, sont présentées une à une les 5 Métrozones : Prometheus, avec ses dieux-machines et ses gladiateurs ; Hydra, avec ses GenClans dans leurs tours organiques ; Ikarus la cité décadente ; le Shogunat, avec ses Clans de Samouraïs immortels, ses temples mystiques et ses robots géants ; Janus et ses Kombines (corporations). La partie se conclut sur une présentation de ceux qui n'appartiennent à aucune métrozone et vivent dans le désert (les Skavengers).

Ensuite, un cahier en couleur (16 pages) intitulé 'Quick Start' présente un résumé du principe des règles et 11 personnages pré-créés (2 par métrozone + un Skavenger). Egalement, 7 illustrations pleine page (dont 2 de Druillet) illustrent cette partie. La Dernière partie "Datacore Two : Systems" présente le système de jeu et les conseils au MJ. Ses chapitres sont consacrés dans l'ordre à la création de personnage (48 pages, avec les compétences dont les pouvoirs psi, les avantages dont les pouvoirs spéciaux, les désavantages), l'équipement (42 pages avec armes, armures, véhicules, cyber- et bio- équipements, ainsi que des équipements plus pacifiques), le système de jeu (34 pages surtout consacrées au combat), les conseils au MJ (22 pages) et enfin le bestiaire (28 pages avec aussi des considérations sur la météorologie). Le système de jeu se voulant très intuitif, il y a très peu de tableaux, hormis ceux qui regroupent les caractéristiques d'armes.

Chaque chapitre des "Datacores" débute avec une courte nouvelle et est illustré dans des styles très divers.

Cette fiche a été rédigée entre le 8 mai 2000 et le 8 mai 2009.

Critiques

Bertrand Michelot  

Jeu de rôle complet. Le livret de base suffit à bien appréhender le monde, à créer des tas de personnages originaux et à assimiler des règles simples mais efficaces.

Un monde plein de surprises et de diversité.

On regrette simplement un bestiaire trop léger.

Il est regrettable que ce jeu n'ai pas eu beaucoup de succès, il était prometteur.

Les suppléments sont de très bonne qualité.

soner du  

Ce jeu est très attachant et extrèmement bien écrit, avec clarté et un peu d'humour (plus en tout cas que dans d'autres jeux "Dârk"). Les règles sont simples, et le système permet de créer un personnage "à la carte" avec une grande souplesse.

Dommage que la présentation fasse un peu trop "100% grosse baston de base", surtout au niveau des illustrations. C'est sans doute ce qui a desservi le jeu, qui pourtant possède un univers très riche et cohérent (richesse et cohérence encore renforcées par les deux excellents suppléments parus).

Dracolys  

Voilà un jeu qui a été certainement desservi par sa maquette et ses illustrations, qui donnent l'impression qu'il est destiné aux décharnés du bulbe voulant jouer des guerriers fanatiques et survitaminés s'affrontant avec des armes monstrueuses. Bon, c'est aussi vrai qu'on peut très bien faire y jouer comme çà, mais ce ne serait pas faire honneur au talent des auteurs, qui ont construit un univers certes on ne peut plus desespéré (la terre est ravagée, les habitants ne peuvent s'en échapper car la planète est en quarantaine et la seule source d'énergie se tarit chaque jour un peu plus) mais d'une grande richesse et d'une grande cohérence. Chacune des cités-état possède par exemple une âme qui lui est propre et une philosophie très particulière. On peut même dire que dans l'ensemble, le ton donné au jeu, même s'il n'est pas révolutionnaire, est assez original.

On est très loin du trop classique monde post-apo à la Mad Max et l'univers est délirant (démons énergétiques, orages qui attaque la sustance même de la matière, insectes intelligents, et...) sans jamais sombrer dans le ridicule, comme ce fut parfois le cas pour Gamma World. Quant au système, il est simple, efficace bref relativement bien pensé. On ne peut que regretter que la gamme se soit arrêtée si prématurément.

Les éditions mentionnées sont celles de la version originale. Vous avez décelé une erreur ou une correction nécessaire, ou encore vous souhaitez compléter la description ? N'hésitez pas à contacter la passerelle !

Mots des auteurs

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Critiques

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