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Wibbly-wobbly, timey-wimey.... RPGs

Rise of the Dungeon Master

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Références

  • Gamme : Documentation & Etudes
  • Version : première édition
  • Type d'ouvrage : Accessoire
  • Editeur : Nation Books
  • Langue : anglais
  • Date de publication : mai 2017
  • EAN/ISBN : 978-1568585598
  • Support : Papier et Electronique
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Livre de 144 pages au format 17,1 x 22,9 cm à couverture souple.

Description

Sous-titrée Gary Gygax et la création de Donjons & Dragons, cette bande dessinée relate, en faisant principalement parler Gary Gygax et Dave Arneson, la création du premier jeu de rôle, puis son expansion et l'impact qu'il a eu dans la culture populaire.

Après une page de titre, puis une double page de titre et de crédits illustrée, vient une page de biographie des auteurs ainsi que leurs remerciements. Après cela, le sommaire occupe une page. Ensuite, chaque chapitre commence par une page blanche en face d'un portrait d'un des principaux protagonistes dans un écusson. Les chapitre n'ont pas de titre, juste un numéro.

Le chapitre un, douze pages, illustré d'un portrait de Gary Gygax à la fin de sa vie en entrée, relate une rencontre fictive avec lui et le début d'une partie de JDR, tout en exposant les principes de base de D&D. Puis le chapitre deux, illustré un portrait du jeune Gary Gygax, expose en 26 pages l'enfance et la jeunesse de celui-ci. Il y est également question de sa découverte des wargames et de l'organisation de la première GenCon. Il se termine avec la publication de Chainmail.

Le chapitre trois, quatorze pages, illustré d'un portrait de Dave Arneson jeune, commence en 1969, alors que celui-ci fait jouer ses copains étudiants à des jeux de sa création. Venant à la GenCon, il fait la connaissance de G. Gygax et de son jeu Chainmail, qu'il va faire évoluer pour jouer dans des souterrains. Il y ajoute aussi un système d'expérience pour faire évoluer les personnages. Les premières différences de philosophie ludique arrivent rapidement.

Le chapitre quatre, vingt pages, se concentre sur G. Gygax, avec la rédaction du premier Dongeons & Dragons, la première partie test, la tentative de le faire publier par Avalon Hill, avant de créer TSR et de le publier. La sortie d'AD&D est également évoquée. Le chapitre suivant revient à D. Arneson, mais étend ensuite le propos à l'impact du jeu sur les premier jeux informatiques, jeux en mode texte, premiers MUD en réseau, etc. Plusieurs pionniers sont mentionnés, dont Richard « Lord British » Garriott.

Le chapitre six (28 pages) s'ouvre sur un portrait de William Dear, détective qui fut chargé de retrouver un étudiant disparu du nom de James Dallas Egbert III, en 1979. La traque pour le localiser se double d'une tentative de comprendre si cette disparition est en lien avec sa pratique assidue de AD&D. Et pour cela, il lui faut comprendre ce que c'est que ce jeu étrange. Le jeune homme ayant finalement réapparu, les recherches s’arrêtent, mais pas le battage autour du jeu et de ses dangers supposés. Après le suicide, un an plus tard du jeune J. D. Egbert, sa mère créera une association anti D&D pendant que des chrétiens fondamentalistes diffuseront des tracts hostiles au JDR.

Le chapitre sept consacre vingt pages à la fois au succès de TSR, au conflit qui oppose G. Gygax et D. Arneson sur les droits d'auteurs, qui amène un procès et finalement aux difficultés de la firme, mal gérée. Gary doit revenir d'Hollywood, où il tentait de monter un film, pour changer la direction, avant d'être lui-même débarqué peu après par les nouveaux administrateurs.

Le chapitre huit expédie en dix pages la suite de l'histoire, y compris le rachat de TSR par Wizard of the Coast, la création de la troisième puis de la quatrième édition du jeu et mentionne l'influence de D&D sur Blizzard Entertainment lors de la création de World of Warcraft. Enfin, le chapitre neuf, oublié dans le sommaire, consacre quatorze pages à la fin de vie de D. Arneson, au succès de la cinquième édition et au retour en grâce médiatique de ce jeu. Il se termine par la mise en scène d'une ultime partie menée par G. Gygax jusqu'à un saut dans l'inconnu, symbole de son décès.

La version française est suivie d'une postface de deux pages de François Marcela-Froideval, intitulée Côtoyer le dragon.

Cette fiche a été rédigée le 17 mars 2018.  Dernière mise à jour le 25 mars 2018.

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